L'idée
L'Œil du Couvreur, le maillon qu'il manquait.
J'ai passé une bonne partie de ma vie sur les toits. Pas seulement pour les couvrir - mais pour les comprendre. Et j'ai ce réflexe dans la peau, celui de lever les yeux comme si je cherchais les nuages, alors qu'en réalité, ce sont les toits que je scrute, ces paysages suspendus que seul les couvreurs savent voir.
Pendant des années j'ai exercé le métier de couvreur-zingueur avec passion. J'ai appris à lire une toiture comme d'autres lisent un livre : chaque tuile, chaque soudure, chaque élément raconte son histoire.
Mais pourtant, d'en bas, tout n'est pas si poétique.
Entre les clients dépassés à qui l'on tend un devis comme un verdict et des artisans compétents noyés dans la méfiance générale, il y existe un vide. Et c'est ce vide que j'ai décidé de combler.
L'Œil du Couvreur est né d'un besoin: rétablir la confiance.
Confiance des clients, qui ont besoin d'un diagnostic clair et indépendant avant de signer un devis.
Et confiance des bons artisans, qui méritent d'être mis en avant pour leur sérieux, sans devoir justifier leur savoir-faire à chaque chantier.
Je me place avant tout ça, là où les décisions se prennent, là où tout se joue en silence. J'aide les clients à comprendre ce qu'il faut faire, à prendre position avec sérénité, sans pression commerciale.
J'aide les artisans à intervenir dans de bonnes conditions, sur des bases saines, sans devoir convaincre.
Et j'aide le métier et l'artisanat à retrouver leur équilibre en mettant en valeur ceux qui pratiquent avec sérieux.
Je suis l'intermédiaire entre les doutes et les décisions.
Je suis ce maillon qu'il manquait.